La curiosité est Ma plus grande richesse.

Dès que je ne connais pas, ou que je trouve ça incroyable, j’arrive toujours à sortir cette phrase.

Et si j'allais voir ?

Voilà comment ça commence...

Une rencontre, une discussion, un livre, une émission Arte et je me retrouve derrière mon ordi !Il y a 30 ans, c’était direct direction la bibliothèque avec une tonne de livres, magazines qui se retrouvaient au pied du lit.Bon, maintenant c’est sur,  nous avons tout à porté d’un clic et simultanément ; merci la fibre !!

 

 

 

 

Et, c’est comme ça que je me suis retrouvée dès 1992 à vivre des expériences mémorables :  chanter du Edith Piaf sous la mousson de Bombay, en Amazonie m’apercevoir que ma salle de bain naturelle du matin était le soir même ma zone de pêche de piranhas pour le dîner,   à jouer du marteau et burin à 20 mètres sous terre avec des mineurs chasseurs d’émeraude au fin fond d’une vallée perdue en Colombie, devoir m’expliquer à la frontière Jordan-syrienne pourquoi j’avais dans le coffre du 4×4 des cordes pour venir voir le panorama !! (on leur à bien dit pourtant qu’on allait faire de l’escalade dans le Wadi Rum), avoir des discussions interminables avec un moine birman aussi spécialiste de ses chats sauteurs qu’incollable sur notre politique nationale ! Ou dernièrement suivre un chamane dans la forêt pour une cueillette d’herbes guérisseuses.

Allez j’arrête là, mais si nous devions revivre par malheur une période de confinement, promis j’écris un livre !

Tout ça pour vous dire que j’aime à retranscrire toutes ces expériences (ou pas !) dans l’identité des voyages Natures du Monde.

Je vous partage mes projets ?

Et, c’est comme ça que je me suis retrouvée dès 1992 à vivre des expériences mémorables :  chanter du Edith Piaf sous la mousson de Bombay, en Amazonie m’apercevoir que ma salle de bain naturelle du matin était le soir même ma zone de pêche de piranhas pour le dîner,   à jouer du marteau et burin à 20 mètres sous terre avec des mineurs chasseurs d’émeraude au fin fond d’une vallée perdue en Colombie, devoir m’expliquer à la frontière Jordan-syrienne pourquoi j’avais dans le coffre du 4×4 des cordes pour venir voir le panorama !! (on leur à bien dit pourtant qu’on allait faire de l’escalade dans le Wadi Rum), avoir des discussions interminables avec un moine birman aussi spécialiste de ses chats sauteurs qu’incollable sur notre politique nationale ! Ou dernièrement suivre un chamane dans la forêt pour une cueillette d’herbes guérisseuses.

Allez j’arrête là, mais si nous devions revivre par malheur une période de confinement, promis j’écris un livre !

Tout ça pour vous dire que j’aime à retranscrire toutes ces expériences (ou pas !) dans l’identité des voyages Natures du Monde.

Je vous partage mes projets ?

Ici nous ne sommes pas encore dans la finalité des voyages que vous trouvez sur le site.

Souvent, pour ces projets,  je suis dans une phase ou effectivement je me dis “ça serait un super voyage à proposer ça “. Mais comme il est à ce stade d’abord lié à ma sensibilité, mon appétence personnelle, il faut qu’il soit éprouvé. Seulement après il sera peut-être adaptable et adapté pour satisfaire à des futurs voyageurs…

Le voyage de reconnaissance demande déjà dans un premier temps une prédisposition à l’inconnu et une très grande adaptabilité. Ceci ne veut pas dire, bien au contraire, qu’il n’y a pas d’objectifs mais c’est la

C’est une expérience qui impose une habitude à “barouder”,